Paulo Coelho
Paulo Coelho Je voudrais aujourd'hui vous faire découvrir Paulo Coelho, un écrivain brésilien que j'ai découvert il y a à peu près 3 ans de cela, un peu par hasard. J'avais, en effet, déjà entendu son nom de ci de là au cours de conversations à maintes reprises et cela a fini par suscité ma curiosité d'autant que les personnes qui en parlaient en disaient le plus grand bien. Alors un jour je me suis lancé et je me suis attaqué à la lecture de son roman le plus connu : L'Alchimiste.
L'histoire est celle de Santiago, jeune berger andalou parti à la recherche d'un trésor au pied des pyramides. Dans le désert initié et guidé par un homme qui se fait appeler l'alchimiste il va apprendre à écouter son coeur et à déchiffrer les signes du destin,... de son destin.
Dans cette oeuvre, comme dans tous ses autres livres, Paulo Coelho développe les thèmes de son propre apprentissage et restitue une spiritualité et une certaine philosophie de la vie en des termes simples. Ces écrits nous permettent de nous interroger sur nous mêmes et nous fait prendre conscience que nous sommes les seuls maitres de notre destinée. Chaque ouvrage est une leçon de vie.
Pour finir j'ai envie de terminer par quelques citations, ou extraits, tirés de ces oeuvres...
Il n'y a qu'une chose qui puisse rendre un rêve impossible, c'est la peur d'échouer.
[ L'Alchimiste ]
En régle général, la mort fait que l'on est plus attentif à la vie.
[ L'Alchimiste ]
De toutes les manières que l'homme à trouver de se faire du mal à lui-même, l'Amour est la pire.
[ Le pélerin de Compostelle ]
Les gens ont toujours tendance à vouloir aider les autres, uniquement pour se sentir meilleurs qu'ils ne sont en réalité.
[ Veronika décide de mourir ]
Un homme doit choisir. En cela réside sa force : le pouvoir de ses décisions.
[ La cinquième montagne ]
Toutes les batailles de la vie nous enseignent quelque chose, même celles que nous perdons.
[ La cinquième montagne ]
Plus que la faim, la soif , le chômage, la souffrance d'amour, le desespoir de la défaite, le pire de tout, c'est de sentir que personne, mais absolument personne dans ce monde, ne s'intéresse à nous.
[ Comme le fleuve qui coule ]
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